SIGNAL: WALLIS
En attendant l‘INterlinkfest, qui se tiendra du 10 au 12 octobre 2025 à Québec, je vous propose de découvrir les artistes qui ont marqué mon année 2024.
Ce blog s’adressent aux curieux et curieuses, à ceux qui aiment explorer, cliquer sur des liens pour découvrir de nouveaux artistes, et scroller jusqu’en bas d’une page. Si vous ne vous attardez qu’à un ou deux articles, vous risquez de passer à côté de nombreux artistes excellents à découvrir ou redécouvrir.
En écoutant toutes les pièces musicales présentées dans ces articles, vous comprendrez que j’apprécie de nombreux styles de musique électronique, ce qui se reflétera dans la programmation du festival. D’ailleurs, les têtes d’affiche du festival se cachent parmi ces artistes. Saurez-vous deviner lesquels ?
WALLIS (Soundcloud / Instagram)
Berlin, Allemagne
Peu de musiciens dans la scène techno ont un son vraiment unique, et Wallis en fait partie.
Productrice, performeuse live, DJ et ancienne ingénieure en mastering, Wallis est une âme profondément créative, en quête de nouveauté et d’émotion dans le domaine de la musique électronique. Ses compétences techniques pointues, associées à une approche unique de la conception sonore, lui ont permis de développer une signature sonore qui repousse sans cesse les limites du genre techno et de son identité artistique. À l’aide d’une variété de synthétiseurs, d’unités d’effets et de techniques expérimentales en studio, Wallis produit une musique électronique mélancolique et accrocheuse, oscillant constamment entre différents motifs et atmosphères.
Elle a joué dans de grands festivals tels que Parklife, DGTL et Awakenings, ainsi que dans des clubs renommés comme le Berghain. Capable de passer d’une grande scène un jour à un petit sous-sol intime et moite le lendemain, elle s’adapte à tous les contextes avec aisance.
En 2024, elle a rejoint la London Fashion Week et composé la musique de l’intégralité du défilé de Natasha Zinko lors de l’édition de février 2024.
Nouvel EP Protect me from my friends disponible sur Boudica (ICI)